En 2020, l’exposition 18 consacrée à Tiger Woods sera présentée dans une centaine de golfs en France.
Golf Planète vous livre en exclusivité quelques clichés qui seront dévoilés à cette occasion.
Cette expo sera aussi visible du 1er au 30 avril 2020 sur le site : http://tgw45.com/. Ticket : 3 euros par PayPal , durée, 1H30.
Le catalogue collector sera lui disponible dès le 1er avril 2020. Le tirage est limité à 100 exemplaires numérotés, format 30×30, couverture avec rabat, à 75 euros. Prix avec envoi sur toute la France : 75 euros TTC. Réservation recommandée : blancple@yahoo.fr
À l’origine de ce projet, les éditions Templar et Frédéric Lecomte-Dieu nous ont dit les objectifs recherchés : « L’idée est venue après sa victoire au dernier Masters. Lorsqu’on a traversé à pieds nus l’enfer, c’est magnifique de revenir au sommet. Il a toujours gardé en lui la force ! Il a eu le courage de poursuivre son rêve et celui de ses parents : entrer dans l’Histoire du golf. Tiger Woods, contrairement aux horreurs écrites sur lui, est un exemple pour les nouvelles générations.
Dès ses débuts au golf, Earl Woods a relaté à son fils, en détail, les difficultés auxquelles il avait été confronté en tant que Noir. Interdiction de se changer dans certains clubs aux Etats Unis , d’y diner… ou parfois même d’y accéder. L’Augusta national a refusé les joueurs Noirs jusqu’à la venue du champion Lee Edler en 1975 mais elle a refusé l’accès, malgré son immense palmarès à Charlie Sifford. Tiger Woods savait cette histoire. Pour le jeune prodige, en 1997, sa victoire était une manière à lui de saluer le dur combat de ces professionnels Noirs au sein du circuit de la PGA… C’est une partie du parcours de Tiger Woods qui est aussi saluée dans cette exposition. Tiger Woods a fait preuve de beaucoup de tact dès le début de sa carrière professionnelle. « J’ai fait parler mes clubs. Le golf n’est pas raciste, aimait-il répéter ». Il n’a pas voulu être un symbole. Juste une personne. »
Contact : blancple@yahoo.fr
Lorsque Justin Thomas demande à Tiger de quelle façon il s’entrainait il y a 20 ans, celui-ci lui répond en souriant : « Eh bien, je me levais le matin, je courais près de 6,5 kilomètres puis j’allais à la salle de sport pour pousser de la fonte. J’allais ensuite frapper la balle pendant deux à trois heures. J’allais jouer, je revenais et je travaillais sur mon petit jeu. Je repartais courir 6,5 kilomètres de plus et si quelqu’un voulait jouer au basket ou au tennis, je jouais avec lui. C’était une routine quotidienne… ».
« Le plus important, c’est qu’il réalise un record pour la jeune génération…Lorsque Tiger atteindra ce point ultime, et lui seul pourra le déterminer, il annoncera que c’est assez…Il fera alors autre chose » : Earl Woods
Le 15 juin 1997, Tiger Woods atteint le sommet du classement mondial. « He is the Man ! » hurlent ses fans à chacun de ses coups de fer. « Je ne suis personne d’autre que moi, que la personne
Dès ses débuts au golf, son père lui a relaté en détail les nombreuses difficultés auxquelles il avait dû faire face en étant Noir aux Etats-Unis. Interdiction de se changer dans les vestiaires de certains clubs, aucun espoir d’y jouer non plus… En mars 1997, Tiger Woods se prépare à jouer les Masters. « Si je gagnais ce tournoi, ce serait énorme pour nous tous…A cause de la manière dont les Noirs ont été traités ici… ». Il sait que l’Augusta National Golf Club refusait l’accès aux joueurs Noirs jusqu’à la venue de Lee Edler en 1975.
Crédit Photos : Sport Illustrated et © Sport Picture Library / Alamy / Imageselect