Qualifié pour son premier tournoi du grand chelem grâce à sa brillante saison sur le Korn Ferry Tour, Paul Barjon a découvert l’impitoyable set-up du parcours de Winged Foot. Le Néo-Calédonien s’attend à un souffrir comme la plupart des joueurs.
Bonjour Paul, bien arrivé à New-York ? Vous avez enchainé les tournois ces dernières semaines, pas trop fatigué ?
C’est vrai que je suis arrivé à New-York dimanche très tard, voire lundi matin. Je me suis fait tester à 8h lundi matin et j’ai dû attendre 4 heures le résultat. Après j’ai pu faire 9 trous histoire de voir le parcours et avoir une idée de la vitesse des greens, de tester le rough. C’est vrai que je suis un peu fatigué mais ça va. La météo est bonne et les installations sont incroyables.
Jouer très intelligemment et se laisser des putts en montée
Vos premières impressions sur le parcours ?
C’est un tracé assez exigeant avec des des roughs très épais, des fairways assez étroits mais le plus gros défi, c’est la pente sur les greens. Elles sont très sévères, il va donc falloir jouer très intelligemment en se laissant des pentes en montée. En résumé il va falloir être un maitre de la stratégie de jeu.
(USGA/Darren Carroll)
The 1st green at Winged Foot 😮 (🎥: Billy Foster/IG @billy66foz) pic.twitter.com/kLxBrZ2rrk
— Golf Monthly (@GolfMonthly) September 15, 2020
