En cette année de crise sanitaire, l’édition 2020 du Masters restera marquée par les couleurs d’automne d’Augusta, l’absence de spectateurs, un parcours différent, la marche en avant du numéro 1 mondial, Dustin Johnson, qui a reçu sa veste verte d’un Tiger Woods fatigué mais toujours battant et enfin, par un premier tournoi encourageant pour notre seul représentant, Victor Perez.
Golf Planète a sélectionné les meilleurs photos souvenirs à garder en mémoire.
Dustin Johnson, du début à la fin
Dustin Johnson est numéro 1 mondial. Il vient de conquérir son deuxième titre Majeur, après avoir terminé 2e l’an dernier derrière Tiger à Augusta. Il aura mené cette édition du début à la fin. (Photo by Patrick Smith/Getty Images)
DJ, la force tranquille
Dustin a fait merveille dans tous les domaines. Mais comment ne pas signaler la régularité de ses drives. Puissance maitrisée rime avec fairways touchés chez DJ. Le métronome dégage une telle impression de force tranquille avec ses émotions canalisées. Le voilà installé durablement au sommet de la hiérarchie mondiale. (Photo by Patrick Smith/Getty Images)
Paulina, la compagne toujours présente
Paulina Gretzky, fille du plus célèbre hockeyeur canadien, est la compagne de Dustin Johnson. La mère de leurs deux garçons Tatum et River ne l’a pas quitté de la semaine. Le golf est un jeu de famille : le frère de Dustin, Austin porte le sac et s’est écroulé en larmes sur le green du 18.(Photo by Jamie Squire/Getty Images)
La première veste verte
La messe est dite. Allez en paix ! (Photo by Rob Carr/Getty Images)
Tiger Woods, l’émotion jusqu’au bout
Tiger Woods, tenant du titre, s’est battu pour obtenir une 6e veste verte. En vain. Ses nombreux fans ont souffert avec lui lorsque les tourments du jeu lui ont coûté un septuple bogey, 10 au 12. Toujours digne acceptant la sentence sans le moindre signe d’agacement, il a réagi en immense champion qu’il est avec 5 birdies en 6 trous retrouvant même le sourire au moment de quitter la scène. Respect, champion ! (Photo by Jamie Squire/Getty Images)
Cameron Smith et Sungjae Im, les ultimes adversaires
Sans spectateurs, Augusta a laissé la place au silence et au jeu
Un commissaire seul spectateur. Où sont les foules d’antan qui réservaient leurs tickets des années à l’avance ? (Photo by Patrick Smith/Getty Images)
Une balade inhabituelle dans ce calme historique d’Augusta vidée de ses célèbres “patrons”. (Photo by Jamie Squire/Getty Images)
DeChambeau a fait pschitt
Bryson DeChambeau s’est perdu à de nombreuses reprises au milieu des beaux arbres d’Augusta. Les couleurs d’automne n’ont pas réussi au Docteur Bison qui avait fait le pari malheureux d’agresser le parcours. L’addition salée lui fera-t-elle changer de stratégie dans 5 mois ? Pas sûr (Photo by Jamie Squire/Getty Images)
Victor Perez, initiation Majeure
Initiation majeure pour Victor qui découvrait Augusta : il a passé le cut et a réussi son objectif. Humilité, sagesse et espoir. De quoi se baisser respectueusement devant le drapeau du Masters. (Photo by Jamie Squire/Getty Images).
Rahm rame et revient
Jon Rahm était un des favoris. L’Espagnol n’a pas tenu ses promesses, malgré des rebonds qui lui font accrocher la 7e place auprès de Koepka…. Sa fougue, sa jeunesse et son talent lui offriront bientôt un Majeur. Pari tenu. (Photo by Patrick Smith/Getty Images)
Justin Thomas, une palette complète de coups talentueux
Justin n’a pas gagné mais a toujours déployé ses talents qui le feront gagner un deuxième Majeur bientôt. Il termine seul 4e. (Photo by Patrick Smith/Getty Images)
Rory le maudit se perd encore à Augusta avant de terminer fort
Rory McIlroy qui n’a réussi qu’une 4e place au Masters (2015) ne sait pas comment sortir de la nuit où le plonge le parcours d’Augusta. Comme maudit. Toujours un tour qui le contrarie. En 2011, c’était le dernier. En 2020 ce fut le premier. Il termine fort: encore un top 5. (Photo by Patrick Smith/Getty Images)
Fleetwood en attente
Tommy Fleetwood n’a pas encore gagné de Majeur. C’est mineur, vous dira-t-il. Fleetwood n’a que 29 ans. Ce héros de la Ryder Cup a le temps. Keep cool, dude !(Photo by Patrick Smith/Getty Images).
Ancer, un Mexicain qui balance
Sur le Sarazen Bridge, Abrahma Ancer marche à contre-courant des officiels mais dans le sens de l’histoire. Dommage qu’il ait raté son dernier tour ! Il aura gagné en expérience et reviendra bientôt plus fort. (Photo by Patrick Smith/Getty Images)
Phil et Amy, l’amour plus fort que la défaite
Phil Mickelson, 50 ans, s’éloigne d’un nouveau rêve mais rit à la vie grâce à sa femme Amy. (Photo by Jamie Squire/Getty Images).
Kevin Na vu de haut
Les vues aériennes nous ont permis de découvrir un magnifique Augusta aux couleurs d’automne. Mises en valeur par de grands champions. (Photo by Patrick Smith/Getty Images).
Langer, l’autre star de ce 84e Masters
Première fois qu’un joueur de plus de 63 ans franchissait le cut. Gageons que Bernhard battra encore ce record plusieurs fois ! On adoré le voir jouer son dernier tour avec DeChambeau … qu’il a battu d’un coup au total ! (Photo by Patrick Smith/Getty Images).
Fred Couples, le champion cool qui fait partie des meubles…
Impossible d’imaginer un Masters sans la démarche débonnaire de Fred Couples et son swing d’école. Que les dieux du golf nous le garde longtemps ! (Photo by Patrick Smith/Getty Images).
Gary Player et Jack Nicklaus swinguent sous la pluie
À 85 ans et 80 ans, Gary Player et Jack Nicklaus ont ouvert le bal du Masters 2020. Respect et admiration aux légendes vivantes qui swinguent encore si bien ! (Photo by Rob Carr/Getty Images).
Reverra t-on un jour les azalées et les rhododendrons en fleur ?
Quel spectacle bizarre de découvrir ce fameux n°12, le par 3 de l’Amen Corner, sans fleurs multicolores ! L’arène mythique d’Augusta National sans les clameurs des spectateurs… Rendez-vous dans 5 mois ! (Photo by Jamie Squire/Getty Images)