Six mois après son catastrophique dernier tour de l’Open Championship à Portrush, JB Holmes s’élancera en tête du Phoenix Open ce week-end. Un tournoi qu’il a déjà inscrit deux fois à son palmarès en 2006 et 2008
Auteur d’un trou en 1 le premier jour le joueur du Kentucky a fait suivre son 64 de jeudi par un excellent 65 lors du 2e tour.
« Il va y avoir beaucoup de monde. Ça va être très fort », a déclaré Holmes. « Je dois simplement continuer à faire ce que j’ai fait, rentrer des putts et ne pas changer de stratégie. Cela a très bien fonctionné jusqu’à présent. »
Holmes a franchi l’aller pied au plancher avec des birdies au 13, 15 et 16 suivi d’un fantastique eagle au 17 un par 4 de moins de 300 mètres.
Wow l’eagle de Holmes au 17 !
The aggressive play pays off.
Eagle for @JBHolmesgolf after his 321-yard drive. 🦅
He’s tied for the lead @WMPhoenixOpen.#AonRiskReward pic.twitter.com/uaPu1atSpx
— PGA TOUR (@PGATOUR) January 31, 2020
Jon Rahm toujours en course pour la place de n°1 mondial
3e dans la hiérachie mondiale Jon Rahm est 7 sous le par et peut toujours espérer ravir la place de n°1 à Brooks Koepka ce dimanche en cas de victoire en Arizona. Après une série de 5 birdies consécutifs l’Espagnol a concédé deux bogeys frustrants sur sa fin de partie.
« Frustré ? Oui c’est un euphémisme « , a déclaré Rahm. « Je jouais du très bon golf, mais ma fin de partie est terrible. »
Finau fait le show
Avec un 66 dont un émouvant birdie au 16 l’Américain grand fan de Kobe Bryant s’est replacé dans le haut du classement.
👏 @TonyFinauGolf brought his A game today.
His second-round 66 moved him to T5 @WMPhoenixOpen. pic.twitter.com/mFebB52Dgh
— PGA TOUR (@PGATOUR) January 31, 2020
Spieth à la trappe
Le tenant du titre Rickie Fowler s’est bien relancé après un premier tour bouclé en 74. Son 65 soit 6 coups sous le par et ponctué de 2 eagles lui permet de franchir le cut au contraire de Jordan Spieth toujours en proie à de grosses difficultés malgré un 69 vendredi.
« Depuis toujours j’ai beaucoup de mal à lire ces greens et ce fut le cas à nouveau cette semaine », a expliqué le Texan. « Il y a quand même du positif notamment sur mes mises en jeu. Cela faisait plusieurs années que je n’avais pas drivé aussi bien »