Comme Golf Planète l’a signalé dans un précédent article, l’Andalousie est une des principales destinations golf d’Europe : 110 parcours, 700 millions de recettes laissés par 500 000 touristes golfeurs.
La Costa del Sol qui relie grosso modo Malaga à Valderrama propose, à elle seule, 70 parcours que nous avons parcourus : Golf Planète propose à ses fidèles lecteurs deux sélections très subjectives qui retiendront, nous l’espérons, leur attention et leur intérêt :
– Cette semaine, nous présentons les 10 golfs d’Andalousie qu’il faut avoir joué une fois dans sa vie. Ils sont souvent aussi célèbres que chers mais quand on aime…
– La semaine prochaine, place à une quinzaine de parcours, plus abordables, qui méritent un détour quand vous passerez dans le sud de l’Espagne.
Vamos ! Direction l’Andalousie, le soleil, la mer et le golf… Un coin très prisé des Scandinaves, des Anglais, des Hollandais mais aussi des Belges et des Français (de plus en plus) qui apprécient, au-delà du soleil, un partage de culture commune.
RdM
Valderrama et Sotogrande en locomotives
S’il fallait tresser une couronne avec les plus beaux golfs d’Andalousie, deux viennent tout de suite en tête, sans contestation possible : Valderrama et Sotogrande Old Course.
Nous y ajouterons le Old Course de San Roque, la Reserva, Finca Cortesin, La Cañada, Las Brisas, Aloha, la Zagaleta, sans oublier un golf qu’il est impossible de ne pas citer même s’il est éloigné : le Real Sevilla, proche de la magnifique capitale de cette région ensoleillée d’Espagne.
Valderrama, l’Augusta européen
Le Real Club Valderrama est situé à Sotogrande, entre Marbella et Gibraltar. Pour atteindre ce club de golf mythique qui a accueilli des grands tournois internationaux, sachez que l’aéroport de Malaga se trouve à une heure et demi par autoroute.
Valderrama est un club privé qui ouvre néanmoins ses portes aux golfeurs de passage. Mais pour parvenir à son rêve, il conviendra de ne pas compter ses sous : au début de cette année, le green-fee était à 450 euros, auxquels il faudra ajouter 60 euros pour un fore-caddie.
Régulièrement classé parmi les plus beaux golfs d’Europe et du monde, Valderrama a inauguré, en 1974, un chef d’œuvre d’architecture : le parcours dessiné par M. Robert Trent Jones. Dix ans après sa création, le golf a été acheté par M. Jaime Ortiz-Patiño, décédé en 2013 : son fils Felipe a continué l’œuvre entreprise avec succès avant que cet « Augusta européen » ne devienne la propriété de ses 450 membres. Le rapprochement avec le parcours du Masters se fera parfaitement comprendre quand il s’agira de putter et de maitriser une impressionnante vitesse des greens.
Par 71 de 5 921 m des boules blanches ( 5 520 des jaunes et 4 874 des rouges), le parcours exige précision, technique et un bon niveau. Il faudra sortir votre meilleur jeu pour scorer ! On se consolera en imaginant Tiger Woods ayant joué ici sa première Ryder Cup en 1997 – nous y étions ! – ou en emportant le World Championship en 1999. Ou en admirant la qualité incroyable déployée par les jardiniers pour maintenir l’excellence de ce jardin au milieu des 5 000 chênes lièges ou des 1 000 oliviers. Nous avons retenu les trous 7, 11 (ah, la vue sur la mer) et le 18…
Récemment, les bâtiments ont été rénovés et il est impossible de quitter Valderrama sans déguster un plat de poisson dans ce club à l’ambiance unique.
Le directeur Javier Reviriego Bóveda a répondu à nos questions :
Pourquoi Valderrama est-il le meilleur parcours d’Espagne ?
C’est une combinaison de différents facteurs : la beauté du domaine, la qualité de la conception Trent Jones, le niveau d’entretien, l’environnement naturel, les vues sur la Méditerranée, un défi pour golfeur de tout niveau et enfin l’histoire et la réputation d’un club qui respire le golf et la tradition.
Quand on a atteint un tel degré de perfection, y a-t-il encore un développement possible ?
La croissance de Valderrama passe par un passage de relais réussi aux nouvelles générations afin qu’elles décident de profiter de l’expérience et la développent. Nous sommes un club international avec plus de 40 nationalités de membres et notre objectif est d’atteindre tous les marchés du golf dans le monde !
Vidéo : nous vous proposons de retrouver des images de l’European Tour, aujourd’hui DP World Tour, qui s’était arrêté en 2020 à Valderrama, la meilleure des manières pour revoir ce magnifique parcours en lutte avec de grands champions…
Sotogrande Old Course : l’autre montagne sacrée
L’autre parcours – que certains aiment placer avant Valderrama et que nous mettons à égalité car on ne compare pas deux immenses montagnes de ce type – est le Real Club de Sotogrande, un autre bijou signé par M. Robert Trent Jones dont ce fut le premier parcours en Europe.
Inauguré en 1964, le Old Course – le New Course, c’est Valderrama tout proche ! – est un par 72 de 6 210 mètres des boules blanches ( 5 856 m des jaunes et 5 020 m des rouges).
Ses caractéristiques principales reposent sur ses grands greens, ses longs pars légèrement vallonés, ses avant-greens typiques du travail de RTJ et ses bunkers de sable blanc. Sotogrande fut un des premiers golfs en Europe à avoir utilisé l’herbe bermuda pour ses fairways. On a beaucoup aimé le 7, un par 4 de 324 mètres seulement mais très technique ainsi que les pars 3 que sont les 13 et 17. Et puis, admirez la vue du tee du 12 avant de plonger dans ce beau et long par 5 de plus de 520 mètres !
Txema Olazabal et Sergio Garcia y ont gagné leurs premiers tournois amateurs et Seve Ballesteros son premier tournoi professionnel…
Passage obligé pour tout voyage en Andalousie, le Sotogrande Old Course laissera un impérissable souvenir. Sans oublier les vestiaires et la table : top de chez top ! Le charme de la old school.
Sachez enfin que ce club privé ouvre ses portes aux golfeurs de passage entre le lundi et le vendredi : le green-fee est à partir de 250 euros.
Une présentation vidéo de Sotogrande par GolfinSpain :
Contact directeur : Agustin Mazarrasa +34 956 785 014
San Roque Old Course : un bijou qui a bénéficié de plusieurs millions de rénovation
Et voilà qu’on reparle beaucoup en Andalousie et ailleurs de ce Old Course de San Roque, dessiné au départ par Dave Thomas et Tony Jacklin en 1990.
Seve Ballesteros et Perry Dye avaient déjà changé la configuration des bunkers en 2003. Jusqu’à ce que le nouveau propriétaire russe décide de le fermer en 2019 pour le rénover entièrement. Résultat parfait : le Old Course de San Roque qui a rouvert l’été dernier est une petite merveille et devrait crapahuter rapidement dans les classements nationaux et européens. On devrait y revoir des épreuves du circuit européen qui s’y étaient arrêtés souvent ces 20 dernières années. Le finish du 18 a été encore davantage mis en valeur et laisse le plus beau souvenir.
Principales innovations : la réfection des greens et des départs en bent grass et des fairways en bermuda. Un investissement de plusieurs millions d’euros qui tient ses promesses.
Le Old Course est un par 72 de 6 311 mètres et le New Course dessiné par Perry Dye est un par 72 de 6 497 mètres.
Au pied de la Sierra Bermeja, entourés de collines luxuriantes et de chênaies, les deux parcours de San Roque, les équipements dotés des dernières technologies et les bâtiments refaits à neuf attendent les golfeurs les plus exigeants.
Green-fees à partir de 210 euros.
Contact marketing : Lidia Munoz + 34 956 613 030
La Reserva GC : le paradis des vacances d’un golfeur
Le golf qui monte, qui monte, qui monte !
D’abord parce que ce lieu de Sotogrande encore préservé parce qu’épargné de toute pollution visuelle ou sonore, est un véritable paradis où le golf joue un rôle important, même si les autres activités sportives proposées sont très nombreuses.
Ensuite, parce qu’on se sent bien dès qu’on entre dans ce resort où tout est fait pour que chaque membre de la famille ou du groupe trouve satisfaction et puisse accomplir son rêve de vacances.
Le golf dessiné par Cabell Robinson, le meilleur élève de M. Robert Trent Jones qui a réalisé de nombreux golfs en Espagne, a ouvert en 2003 : les fairways sont larges et accueillants, gentiment ondulés, et conduisent à des greens aux pentes trompeuses, pas toujours faciles à négocier. Très long(6 700 mètres des blanches), le parcours a accueilli plusieurs grands tournois européens : rappelez-vous la victoire ici de Céline Herbin en 2019…
On vient à La Reserva pour le golf bien entendu dont le dessin et la maintenance sont irréprochables mais aussi pour le service et le nombre incroyable d’activités qui tournent principalement autour de la nature et de l’eau.
Green-fees autour de 200 euros.
Petite balade au cœur du resort en vidéo :
Contact du directeur français : Marc Topiol +34 856 560 717
Finca Cortesin : Un golf très championship dans un ilot de luxe
Au bout de la Costa del Sol, la route qui part de la côte et qui mène à Finca Cortesin est trompeuse : on croit s’enfoncer dans une zone abandonnée tellement les carcasses d’immeubles non terminées à cause de la crise de 2008 continuent d’hanter le lieu. Heureusement, les temps changent et les travaux de finition ou de rénovation ont repris récemment.
Et puis soudain, la grille franchie, on passe du laid au beau, de l’enfer au paradis.
Le Finca Cortesin Resort, connu pour avoir accueilli le Volvo Masters et d’autres tournois européens pendant de nombreuses années, reste une valeur sure de l’Andalousie du golf et du luxe. Plusieurs récompenses internationales ont couronné le projet à juste titre.
Parlons d’abord du golf : comme à la Reserva, il est sorti des cahiers de Cabell Robinson. Version difficile ici : très très long (7 000 mètres), ce parcours risque de fatiguer et d’énerver les plus vulnérables. Nous avons aimé une sorte d’Amen Corner que constituent les trous 10 (un long par 3 en descente, suivi d’un très long par 5 technique et se terminant par le 13, un par 4 où l’eau est deux fois en jeu, notamment à l’approche du green : on sera content d’en repartir avec un bogey et de partir au trou suivant…
Finca Cortesin possède un hôtel de luxe ainsi que des villas vastes et bien conçues, très agréables à louer en famille ou en groupe.
Prestations et gastronomie sont naturellement sans reproche.
Enfin, il faut savoir que Finca Cortesin accueillera la Solheim Cup l’an prochain en 2023.
Green-fees entre 260 et 320 euros selon la saison.
La vidéo pour rêver sur Finca Cortesin :
Contact directeur : Francisco de Lancastre David +34 610 72 73 86
La Cañada : un golf public qui possède les 9 derniers plus beaux trous d’Andalousie
Après les 5 diamants de la couronne, il convient de rendre hommage à un autre golf de la zone de Sotogrande que nous aimons et que nous recommandons particulièrement : il s’appelle La Cañada et son histoire mérite d’abord d’être racontée.
Quand M. Patino acheta Valderrama où obligation était faite de jouer avec un caddie – pratique encore forte aujourd’hui -, il demanda à son équipe de trouver un endroit pour que ses caddies puissent jouer et s’entrainer au golf : ainsi est né le club de La Cañada, au cœur de la région de Sotogrande, avec comme objectif principal d’être un golf ouvert à tous, avec des ambitions sportives éloignées des ilots de luxe voisins. Dave Thomas puis M. Robert Trent Jones ont alors construit un parcours de très grande qualité (5 841 mètres) : on peut même affirmer haut et fort que les 9 derniers trous de la Cañada (ceux de RTJ) sont les plus beaux d’Andalousie et même d’Espagne. Détail surprenant : Robert Trent Jones a décidé de dessiner et réaliser ce parcours gratuitement quand il a su qu’il allait être dédié aux caddies et aux familles de leur village.
Chose incroyable sur cette côte dédiée au tourisme et au golf, La Cañada a résisté à toutes les tentations et demeure le seul golf public de la zone. Il est toujours plaisant de voir tous ces gosses à l’école de golf qui ne désemplit pas. Prochainement, peut-être en sortira un Alvaro Quiros qui est né ici et dont la famille a occupé différents postes au golf.
Selon Philippe Janssen, le fondateur de GolfAndalousie, « Guadiaro et San Roque seront toujours redevables à la famille Padiño : elle a créé de la richesse dans la région, la plaçant sur la carte mondiale du golf, elle a donné à l’époque du travail à presque tout le village et, grâce à elle la ville de Guadiaro abrite une école de golf sans comparaison avec aucune autre en Espagne avec plus de 300 élèves.
Comme l’a dit Álvaro Quirós lors du décès de Don Jaime Padiño: Il a transformé notre village, je ne sais pas si nous pourrons un jour rembourser la dette que nous avons envers lui ».
L’arrêt est obligatoire à La Cañada parce que :
– Il s’agit ici du meilleur rapport qualité/prix d’Andalousie (entre 62 et 72 euros le green-fee)
– La magie des derniers trous avec des vues splendides sur la Méditérannée
– La zone de practice est très bien conçue
– L’ambiance est sympa et sportive
– On ne peut pas trouver de meilleures tapas et de délicieux plats populaires qu’au restaurant qui sert à l’intérieur et en terrasse…
Par ici la vidéo :
Las Brisas : l’excellence d’un dessin, d’une maintenance, d’un service
Nous terminons la tournée des golfs bijoux d’Andalousie en nous déplaçant vers l’est , vers Marbella qui possède en quantité le plus grand nombre de parcours.
Et d’abord, le golf de Las Brisas, niché dans une petite vallée urbanisée, bénéficiant d’une renommée justifiée, d’une part à cause du dessin très réussi de M. Robert Trent Jones en 1968, revu et légèrement corrigé par Kyle Phillips en 2014. Et d’autre part, à cause de l’impressionnante attention accordée à la maintenance et à l’excellence des services.
Le golf lui-même ne semble pas d’une difficulté majeure – comme à Finca Cortesin par exemple – mais que l’on ne s’y trompe pas, les pièges sont nombreux et la précision technique sera plus utile que la longueur.
Le Real Club de las Brisas est très privé et il est préférable de connaître un membre pour franchir la grille. Ou s’adresser à son directeur très aimable dont le père a été un ami et adversaire de Jean Garaialde : Ricardo de Miguel +34 952 81 30 21
Green fee : 300 euros environ.
Aloha : signé Javier Arana
Très proche de Las Brisas, nous recommandons ce golf signé par le plus grand architecte espagnol : Javier Arana. Club privé également mais légèrement moins cher… que les plus chers. Et avec une immense terrasse accueillante où il est bon de déguster des plats locaux pour une somme raisonnable.
Le parcours est un par 72 de 6 235 mètres des boules blanches (5 919 m des jaunes et 5 202 m des rouges).
Son créateur, Javier Arana, n’a dessiné que dix golfs, dont El Saler, El Prat ainsi que Guadalmina Sur que nous découvrirons dans notre prochain article.
Il termina Aloha en 1975 juste avant sa mort. Terrain plutôt accidenté, le 1 et le 10 sont des pars 5 qui testent aussitôt votre forme physique et morale, tous les pars 3 sont longs, les lectures de greens ne sont pas évidentes : bref, on s’en souvient une fois le parcours terminé ! Nous avons aimé le 8, un par 3 de 174 mètres ainsi que l’enchainement des trous 10/11/12 au cœur d’une vallée luxuriante et calme. Plusieurs tournois européens ont été disputés sur ce parcours difficile mais pas impossible…
Le club d’Aloha a longtemps bénéficié du support de la Banque de Bilbao avant de devenir un club appartenant principalement à ses membres dans les années 80. Son président est aujourd’hui Rafael Fontán Zubizarreta.
Green-fees : 235 euros.
La Zagaleta : un nid très privé avec 36 trous en pleine Nature
Ce qui plait tout de suite à La Zagaleta, c’est cette immersion rare dans une nature bien préservée et entretenue, un havre de paix et de verdure, au coeur d’une région touristique dévorée par l’immobilier et les activités commerciales de toutes sortes.
Au nord de Marbella, le resort a heureusement (!) subi une crise financière qui l’a obligé à revoir à la baisse son programme d’investissements. La Zagaleta a raisonnablement imposé un coefficient de construction et d’habitation très restreint qui limite le bétonnage courant sur la Costa del Sol. Résultat positif : la Nature a gardé ses droits. Point plus délicat : c’est cher ! Beaucoup de secrets existent encore sur les riches propriétaires qui ont jeté leur dévolu vers ce paradis vert loin des bords de mer qu’on aperçoit là-bas au loin. On parle de princes du Moyen-Orient, puis de Russes… Il faut d’ailleurs montrer patte blanche, ou plutôt la couleur de ses billets et de son carnet d’adresses, pour entrer ici. La sécurité est impressionnante.
Quant au golf, si nous l’avons choisi parmi les bijoux de cette Andalousie du sud, c’est parce que, comme l’a voulu le Californien Bradford Benz, architecte de l’Old Course, les arbres, la végétation et le site dans son ensemble méritaient le meilleur des projets, celui qui allait les mettre en valeur. Résultat atteint aussi bien avec le Old Course qu’avec le New dessiné par Steve Marnoch : on peut même être surpris de découvrir, entre deux trous, des animaux sauvages comme des cerfs ou des mouflons .
Les deux parcours ne sont accessibles qu’en buggy, les fortes dénivellations et le soleil obligent ! Il est plus facile d’obtenir le droit de jouer le New Course que le Old, à moins de connaître un membre…
À lire un reportage récent dans Golf Planète : cliquez ici
Green-fees : 195 euros.
Contact directeur : Carlos Rodiles +34 952 85 54 53
Real Club Sevilla : l’arrêt fortement recommandé dans la capitale andalouse
Pour terminer notre tour des plus beaux golfs d’Andalousie, nous nous arrêterons à Séville, la capitale régionale. alors que nous faisons route vers le bord de mer
Sans être trop long, nous signalerons que le golf de Séville reçut le titre de Real (Royal) il n’y pas très longtemps : une juste récompense pour ce parcours dessiné par Jose Maria Olazabal (6 529 m) et inauguré en 1991. Plusieurs tournois européens y ont été disputés : Paul Casey, Luke Donald ou Paul Lawrie ont inscrit leurs noms au palmarès, notamment de l’Open d’Espagne qui y fut joué.
Nous n’insisterons jamais assez pour vous inciter à séjourner dans cette belle ville de Séville chargée d’Histoire, aux rues emplies de notes de musique et de parfums orientaux, aux nuits chaudes où virevoltent les robes rouge de flamenco au son rocailleux d’une vieille voix oubliée accompagnée par une guitare enjouée.
Golf, xerez, jabugo y musica : Séville vous attend.
Green-fee (très raisonnable pour la qualité fournie) : entre 80 (basse saison) et 125 euros (haute saison).
Comment organiser votre séjour ?
La semaine prochaine, nous vous donnerons des bons filons pour jouer des beaux golfs plus abordables sur la cote andalouse et vous donnerons quelques adresses repérées lors de notre reportage.
Toutefois, il est possible de retenir déjà ces deux interlocuteurs qui satisferont toutes vos attentes pour un séjour réussi en Andalousie :
- d’abord, notez déjà la meilleure des adresses pour les golfeurs francophones : Philippe Janssen, installé ici depuis de très nombreuses années et golfeur passionné.
Philippe est le fondateur de GolfAndalousie qui propose des séjours à prix imbattables comme cette semaine en hôtel 5 étoiles à 950 euros en demi-pension avec 5 green-fees !
Ou son séjour « finest » avec Valderrama, Sotogrande, San Roque, Finca Cortesin et La Reserva : un must à ne pas rater ! Philippe dispose aussi d’appartements très pratiques et peu chers.
Informations : www.golf-andalousie.com
Pour joindre Philippe Janssen : +34 628 133 548
- Pour des séjours en groupes plus importants, vous pouvez aussi vous adresser à Bruno Lelieur, lui aussi présent en Andalousie depuis de très nombreuses années, représentant du ClubGolf sur place qui regroupe de très nombreux golfs de Murcia à la frontière portugaise.
Le choix est immense !
Informations : www.ugolf.eu
Pour joindre Bruno Lelieur : +34 660 48 18 27 (mob) et + 34 94 642 41 82
Photos Vidéos DR, Andalucía Turismo, RdM GP, European Tour et les clubs cités que Golf Planète remercie vivement